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L'APESAC : Association d'Aide aux Parents d'Enfants souffrant du Syndrome de l'Anti-Convulsivant
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Attention ! L’APESAC ne s’occupe pas des effets secondaires que recontrent les adultes ou les enfants qui consomment directement ces anticonvulsivants.
RECENSEMENT DES CAS EN FRANCE
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Il est important de continuer le travail d'information sur les dangers de la #Dépakine #Valproate chez les femmes enceintes en âge de procréer. C'est pour cela que je viens de publier chez Health Sense. ![]()
A lire donc et n'oubliez il existe google translate ! ![]()
"Par Marine Martin![]()
J'étais un jeune parent lorsque j'ai fait le lien entre le médicament que je prenais pour traiter mon épilepsie et les handicaps de mes enfants. Tout a commencé lorsqu'on a diagnostiqué chez mon aîné, à l'âge de trois ans, une série de troubles du développement et de l'apprentissage. Lorsque j'ai commencé à rechercher les facteurs susceptibles de les avoir causés, j'ai été horrifiée de découvrir des similitudes entre l'état de mon fils et la description clinique du "syndrome du valproate fœtal", qui peut affecter les enfants nés de mères traitées pendant la grossesse avec du valproate, un médicament utilisé pour contrôler les crises d'épilepsie. Comme je suis épileptique, on m'avait prescrit du valproate sous la forme de l'antiépileptique du fabricant Sanofi, commercialisé ici en France sous le nom de Dépakine. Aujourd'hui, le syndrome a été diagnostiqué chez mes deux enfants. Aucun professionnel de la santé n'avait pensé à poser des questions après que l'un de mes enfants, puis les deux, ont présenté des problèmes. C'est à moi qu'il incombait de faire le lien.![]()
Déterminée à dénoncer le problème, j'ai créé en 2011 l'APESAC, l'association française qui soutient les parents d'enfants atteints du syndrome du valproate fœtal. En tant que présidente de l'APESAC, je représente plus de 8 000 victimes françaises auprès des pouvoirs publics et des tribunaux.![]()
On sait depuis 1982 que les médicaments à base de valproate peuvent nuire à la croissance du fœtus. Dix pour cent des bébés exposés au valproate pendant la grossesse naissent avec des malformations congénitales et 40 % risquent de souffrir de troubles du développement.(1) Pourtant, malgré de nombreuses réunions et rapports, aucune mesure ne semble avoir été prise pour lutter contre le valproate....
Drug harms in pregnancy – there are none so deaf as those who do not want to hear - HealthSense
www.healthsense-uk.org
For science and integrity in healthcare
Pour ceux qui l’auraient manqué, l’APESAC a pris l’initiative de créer plusieurs petites vidéos explicatives sur le scandale et les diverses procédures existantes pour les victimes. Cette fois, on se focalise sur l’ONIAM et du dispositif spécial pour les victimes de la Dépakine. Découvrez notre toute nouvelle vidéo, comment se faire indemniser ? Partie 1 expliquée par Marine Martin 📢![]()
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www.youtube.com/watch?v=u13mpwhVXHI
Mardi 30 Avril, Marine Martin Dépakine Le Scandale, je ne pouvais pas me taire Présidente de l’APESAC et Jean-Marc Laurent délégué Papa #Dépakine seront reçus par Mme la Député Christine Loir à l’Assemblée Nationale pour une conférence. ![]()
Cette conférence devant les élus membres de la commission des affaires sociales aura pour thématique l’inclusion dans le dispositif amiable d’indemnisation ONIAM, les enfants issus des pères #Dépakine.![]()
Merci à Mme la Députée pour cette invitation ainsi que les 2 questions posées récemment dans l’hémicycle. Il est urgent suite à la reconnaissance par l’#ANSM de la toxicité de la Dépakine chez l’homme, que leurs enfants puissent également être indemnisés.
#Sanofi fait tout son possible pour cacher la toxicité de la #Dépakine #valproate qui s'est évaporé au alentour de leur usin#mourenxurenx. Pourtant la population qui vit autour a été intoxiqué, des plaintes sont encours. Sanofi continue là encore d'être dans le dénis de sa responsabilité et fait tout son possible pour mettre des bâtons dans les roues des différents acteurs dans ce dossier.
Rejets à Mourenx: Sanofi contraint à réaliser une étude des risques sanitaires
www.lefigaro.fr
Sanofi va devoir réaliser une étude des risques sanitaires sur la population de son usine de production d'un médicament antiépileptique à Mourenx...
Merci au député Eric Poulliat député de Gironde d’avoir posé la question à l’Assemblée Nationale de l’inclusion de l’indemnisation des pères #Dépakine dans le dispositif d’indemnisation amiable à l’#ONIAM.![]()
M. Poulliat suit le combat de l’APESAC depuis des années, il était déjà là en 2018 à l’occasion de notre AG à Bordeaux. Il est important d’être soutenu par des élus de la République pour essayer de proposer des amendements pour faire évoluer ce dispositif. On croise les doigts pour que le Ministre de la Santé suive le Député M. Poulliat et qu’enfin les enfants des pères #Dépakine puissent être indemnisés.
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